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Secrétariat paroissial
5 rue saint Martin,
06390 Contes
tel. 04.93.79.00.58

paroissestvincentdepaul@gmail.com


Horaires d'ouverture :
Mardi 15h00 - 18h00

Jeudi 15h00 - 18h00

Vendredi 15h00 - 18h00

 

 

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Le Curé

Abbé Ildephonse NIYONGABO

 

 

 

Prêtre auxiliaire

Abbé Eric REBUFFEL

Photos


Fin d'année 2014


Installation du père Adam
Septembre 2014

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Pélerinage à Notre Dame d'Utelle
Septembre 2014



Soirée Louange 14 déc 2015
La Trinité


Kermesse 2015


Première Communion 2015

 

30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 17:42

Dans sa chronique bimensuelle pour l'émission d'actualité "A la source" sur KTO, Mgr Jean-Michel di Falco, évêque de Gap et d’Embrun, nous parle des relations entre l’Église et les médias.

Extrait du magazine "A la source" diffusé sur KTO jeudi 26 juin à 21h45, à revoir après sa diffusion sur la page :

http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/a-la-source-a-la-source/00085706

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10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 13:43

Quand un chrétien trace sur lui le signe de la croix en disant : "Au nom du Père, du fils et du Saint Esprit", il résume le cœur de la foi. Il y a trois personnes en un seul Dieu ; c'est le mystère de la Sainte-Trinité. Le Père, le fils et le Saint-Esprit sont à la fois distincts mais si unis entre eux qu'ils ne font qu'un. Leur relation d'amour est parfaite. Par le baptême, nous sommes rendus capables d'entrer dans cet échange d'amour et de le partager à notre tour.

http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/regard-biblique-la-sainte-trinite/00061342

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31 mai 2014 6 31 /05 /mai /2014 21:32

Les diocèses français redoublent d’inventivité pour sensibiliser les catholiques au denier du culte, et notamment les plus jeunes. Ainsi, le diocèse de Paris s’adresse clairement aux moins de 40 ans avec ce film d’animation très réussi qui fait la place belle à l’humour et où le tutoiement est de rigueur. 

Benjamin Coste

http://www.famillechretienne.fr/agir/vie-de-l-eglise/denier-de-l-eglise-alors-tu-donnes-141073

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 14:22

ascension.jpg On fête l'Ascension, c'est-à-dire l'élévation de Jésus Christ au Ciel. L'Ascension est l'une des principales fêtes chrétiennes. 

Comme cet événement de l'Ascension se situe quarante jours après Pâques, cette fête tombe toujours un jeudi et, cette année, en 2014, le 29 mai.

Qu'est-ce que l'Ascension ?

Le livre des Actes des Apôtres rapporte que, pendant les quarante jours qui ont suivi Pâques, le Christ ressuscité s'est plusieurs fois montré aux apôtres.

Puis, au cours d'un repas qu'Il prenait avec eux, le Christ leur a annoncé qu'ils allaient recevoir une force, « celle du Saint-Esprit », qui viendrait sur eux. « Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre », a-t-Il ajouté (Actes des Apôtres 1, 8).

« Après ces paroles, ils le virent s'élever et disparaître à leurs yeux dans une nuée. Et comme ils fixaient encore le ciel où Jésus s'en allait, voici que deux hommes en vêtements blancs se tenaient devant eux et disaient : " Galiléens, pourquoi restez-vous là à regarder vers le ciel ? Jésus, qui a été enlevé du milieu de vous, reviendra de la même manière que vous L'avez vu s'en aller vers le ciel » (Actes des Apôtres 1, 9-11). 
L'évangéliste Luc précise quant à lui que les apôtres « retournèrent à Jérusalem, remplis de joie » (Luc 24,52). 

Pourquoi l'Ascension est-elle célébrée dans la joie ?

Le Christ, fils de Dieu fait homme, né de la Vierge Marie, a pleinement assumé cette condition humaine depuis le jour de sa naissance, dans la nuit de Noël. Environ trente-trois ans plus tard, sa présence terrestre s'achève avec l'Ascension.

Pourtant, comme le mentionne saint Luc, les apôtres s'en retournent à Jérusalem « remplis de joie » et non tristes, comme on aurait pu s'y attendre. De la même manière, l'Ascension est célébrée dans la joie par les chrétiens.

L'Ascension fait en effet partie de l'événement inouï de Pâques : par sa mort et sa résurrection, le Christ a sauvé l'homme qui, à sa suite, est désormais appelé à rejoindre Dieu pour vivre dans la gloire céleste. 

Il ne s'agit pas, bien-sûr, de rejoindre le ciel au sens du firmament, l'espace que nous observons au-dessus de nos têtes. Il s'agit d'un espace spirituel, celui de Dieu. A propos du ciel, le Catéchisme de l'Eglise catholique parle de « l'état de bonheur suprême et définitif ». Il précise également que « ce mystère de communion bienheureuse avec Dieu et avec tous ceux qui sont dans le Christ dépasse toute compréhension et toute représentation. L'écriture nous en parle en images : vie, lumière, paix, festin de noces, vin du royaume, maison du Père, Jérusalem céleste, paradis ».

Les deux hommes vêtus de blanc décrits par les Actes des Apôtres annoncent alors aux Apôtres que Jésus « reviendra de la même manière ». Et, pour le moment, ils les incitent à ne pas rester les yeux vers le ciel : ils doivent retourner à leurs responsabilités. Celles-ci leur avaient justement été indiquées par le Christ : être ses témoins par toute la terre en annonçant sa Résurrection, en faisant connaître son enseignement, en baptisant.

L'Ascension est ainsi un envoi en mission adressé aux Apôtres comme aux hommes de tous temps. Il est l'articulation entre le désir du ciel et le service des hommes.
La joie qui fait suite à cet événement s'explique aussi par cette annonce du Christ rapportée par Saint-Matthieu (Mt 28, 20) (et lue au cours de la messe de l'Ascension) : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde ». 

Autrement dit, le Christ est sans cesse présent auprès des hommes : même si, à la suite de l'Ascension, Il n'est plus là physiquement, Il l'est dans les sacrements - dans l'eucharistie en particulier. Il l'est également auprès de ceux qui prient, seuls ou à plusieurs : « Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d'eux », avait-Il dit un jour aux apôtres (Matthieu 18, 20). Finalement, l'achèvement de sa vie terrestre permet sa présence auprès des hommes de tous temps et de tous lieux.
L'Ascension fait donc partie des événements fondateurs de la foi en Christ, et d'autant plus qu'il a donné aux hommes leur liberté : loin de s'imposer à eux, le Christ les laisse libres de croire, et donc d'aimer véritablement.

www.cef.fr

29 juin 2014 : messe à La Pointe de Contes à 11h00

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6 mai 2014 2 06 /05 /mai /2014 14:45

Le baptême : une greffe ou une adoption ? Les deux semblent nous rappeler le dernier concile dans sa Constitution Sacrosanctum concilium (§ 6) : " Par le baptême les hommes sont greffés sur le mystère pascal du Christ : morts avec lui, ensevelis avec lui, ressuscités avec lui ; ils reçoivent l'esprit d'adoption des fils "dans lequel nous crions : Abba, Père", et ils deviennent ainsi ces vrais adorateurs que cherche le Père. " Alors, comment comprendre ce beau sacrement ? Et surtout, a-t-on bien perçu tout ce qu'il implique ? Comment le recevoir, comment le donner et comment faire fructifier ses dons toute sa vie durant ? Pour (re)découvrir l'histoire et le rite du baptême, deux invités : le père Louis-Marie Chauvet, théologien des sacrements, curé dans le diocèse de Pontoise, et le père François Potez, curé de la paroisse Notre-Dame-du-Travail à Paris.

http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/la-foi-prise-au-mot/la-foi-prise-au-mot-le-bapteme/00083267

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 17:28

« Si Jésus est vivant alors, il est où ? », question posée dans Mille questions à la foi, émission de KTO.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 07:15

303592_KCE010412_HP01_4.jpg Seigneur, dans quelques jours commence la Semaine Sainte. Je ne veux pas que cette semaine ressemble à n’importe quelle autre semaine de l’année. Je ne veux pas demeurer indifférent aux mystères de ta passion et de ta mort. Ainsi je viens à toi dans la prière pour méditer et réfléchir sur ce qui s’est passé les derniers jours de ta vie sur terre. Chaque jour de cette semaine je veux prendre le temps pour contempler ces mystères. Dimanche des rameaux, tu entres triomphalement à Jérusalem, accompagné des acclamations de la foule. Aide-moi en ces quelques minutes de prière à pénétrer plus profondément dans la signification de cette célébration.

Prendre un rameau

est une invitation adressée au Christ :

« viens, Tu peux franchir

les portes de la ville.

Ce que Tu dis et ce que Tu fais,

je le mets dans ma vie,

car je crois que Tu es Dieu

venu m’inviter à être heureux. »

 

Prendre un rameau,

c’est prendre la décision

de sortir à la suite de Jésus…

C’est une démarche libre.

C’est un geste de croyant.

Un choix.

 

Venir chercher un rameau,

le prendre, le tenir en main

et le garder bien en vue à la maison,

c’est décider

d’ouvrir la porte à l’Evangile

et d’accueillir Dieu

par des gestes concrets

à l’égard de nos frères.

Chaque jour.

 

DIMANCHE DES RAMEAUX ET DE LA PASSION DU SEIGNEUR

Samedi 12 avril

18h00 Châteauneuf

18h00 Coaraze

18h00 Contes

Dimanche 13 avril

9h00 Sclos

9h00 Berre

11h00 Bendejun

 

11h00 La Pointe

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 08:27

Attaques anti chrétiennes, défaitisme ambiant… L’Église serait-elle devenue ringarde ? La foi chrétienne, dépassée ? « Certainement pas ! » répond avec vigueur le curé de Saint-Ferdinand-des-Ternes, le Père Matthieu Rougé, auteur de L’Église n’a pas dit son dernier mot. L’Église et les chrétiens doivent plus que jamais croire et vivre du Christ, car c’est lui qui donne la véritable modernité : l’accomplissement de la personne humaine.

Alexandre Meyer

http://www.famillechretienne.fr/agir/vivre-en-chretien/3-minutes-en-verite-avec-le-pere-matthieu-rouge-l-eglise-est-elle-devenue-ringarde-132413

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:27

Le carême, un temps pour "se faire mal" ???? Au contraire ! L'abbé AMAR explique, pour "3 min pour convaincre", comment le carême est un temps idéal pour retrouver ou exercer sa liberté intérieure !

http://www.dailymotion.com/video/xhesfj_3-min-pour-convaincre-careme-les-cathos-sont-ils-masos_webcam#from=embediframe

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 10:30

images.jpgNous fêtons aujourd’hui la journée de la femme ! A cette occasion, Jeunes Cathos blog met à l’honneur quelques paroles de femmes … 

Le rapport homme/femme a été traditionnellement pensé selon un principe de domination et/ou de complémentarité, à partir d’une conception souvent essentialisée de leur nature respective. La Bible pose la différence sexuelle comme tout à la fois insaisissable et fondamentalement structurante de l’être humain. En même temps, elle pense la relation entre l’homme et la femme en termes de vocation à vivre ensemble paisiblement, l’un avec l’autre dans le dialogue et l’unité (Gn1, 1-2, 4a). Le début de la genèse déclare en effet que le masculin et le féminin sont simultanément engagés dans l’identité humaine faite à l’image de Dieu. (Gn1, 27). Et la femme y est désignée comme « vis-à-vis » de l’homme. Ce qui les met chacun dans une position de vulnérabilité, par l’expérience d’un manque, d’une incomplétude (Gn 2, 18). Peut ainsi s’établir entre eux ce mouvement du désir si bien chanté par le Cantique des Cantiques.

En fait, être homme et être femme sont deux manières spécifiques d’être au monde, de le percevoir et de l’exprimer. C’est pourquoi leur rencontre dans la durée confronte à une altérité irréductible. Parvenir à accueillir et assumer cette altérité profonde et mystérieuse est une épreuve humaine et spirituelle. Aussi la relation homme/femme quelque soit son registre (amour, mariage, amitié, partenariat et collaboration dans le travail…) gagne-t-elle à se laisser éclairer et travailler par le mystère pascal. Car c’est seulement en se laissant transformer l’un par l’autre dans un chemin de dépouillement et de mort à soi-même qu’homme et femme peuvent établir une vraie relation de confiance et de réciprocité. Et parvenir à la joie d’une communion dans la reconnaissance mutuelle à laquelle ils sont appelés.

Sr Nathalie Becquart, Xavière

 

  « Vous avez revêtu le Christ, il n’y a plus ni Juif ni païen, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus ni homme ni femme 

Ces écrits de l’apôtre Paul datent d’il y a près de 2000 ans et sont pourtant toujours d’actualité ! Ce passage d’Evangile est pour moi l’un des plus saisissants du Nouveau Testament.

Paul définit clairement l’universalisme chrétien ; c’est-à-dire cette volonté d’inclure là où tout le monde oppose les uns aux autres, par leur origine ethnique, leur position sociale ou encore leur sexe.

Alors quel peut être le rôle de l’Eglise et des chrétien(ne)s d’aujourd’hui quant à la question des femmes… d’aujourd’hui ?

On pourrait parler d’un féminisme « en vérité ». La femme n’a pas reçu la moitié du salut ni de l’Esprit-Saint, elle ne peut pas se contenter de recevoir la moitié des droits.

Saint Paul nous parle d’unité dans le Christ. C’est un combat pour une humanité qui n’efface pas les différences mais qui les transcendent et qui ne les hiérarchise pas.

Séverine

 

Etre femme pour moi aujourd’hui :

C’est avoir la possibilité de travailler, au même titre que l’homme.

C’est pouvoir donner le meilleur de ma féminité dans mes activités professionnelles. Je crois que ma féminité se retrouve notamment dans l’accueil, l’écoute, et dans la délicatesse.

C’est choisir de m’engager dans l’amour avec un homme, celui qui est devenu mon époux.

C’est être une femme parmi toutes les femmes que compte l’assemblée aux messes à l’église. Je me demande ce que serait l’église sans toutes ses femmes ?

C’est reconnaître tout le chemin parcouru par les femmes tout au long des siècles. Se souvenir que la femme n’a pas toujours eu la place qu’elle a dans la société actuellement. Et que finalement cela ne fait pas si longtemps que cela ! Je suis heureuse de savoir que nous avons progressé et qu’aujourd’hui hommes et femmes ont le droit d’avoir accès – à peu de choses près – aux mêmes droits !

Aurélie

 

Pour moi aujourd’hui, je découvre que ma liberté de femme se trouve dans l’altérité, la différence vécue au sein de la relation. Je serai heureuse un jour d’enfanter, de porter la vie en moi.

A vouloir devenir l’égal de l’homme, la femme oublie toutes les richesses qui font sa différence et sa beauté. La femme doit être considérée à sa juste valeur, mais dans sa différence, sans oublier ce qui est essentiel en elle.

Parfois je me suis interrogée : de quelle façon l’histoire de la condition des femmes à travers les siècles et de leur oppression est inscrite en notre chair de femme ?

La femme doit assumer sa féminité, pour découvrir les atouts qui sont les siens et ainsi accomplir ce qu’elle est fondamentalement, pour qu’enfin, elle puisse avoir pleinement sa place reconnue dans la société, en tant que femme.

Marie

 

N’ayons plus peur !

Professionnelle active, bonne mère, joyeuse amante, amie réconfortante…  « Wonder-woman » n’existe pas mais j’aime mon métier et espère pouvoir évoluer. Je cultive ma féminité, toute en sobriété : je revendique le fait de pouvoir m’habiller comme j’aime. Et même si elle est encore petite pour comprendre, je précise à ma fille qui ne veut mettre que des robes roses, que des femmes se sont battues pour pouvoir mettre des pantalons (noirs !). Au mythe de la princesse mielleuse, grincheuse, pleurnicheuse, je préfère lui proposer la femme imparfaite mais positive, équilibrée mais en mouvement, fidèle à elle-même sans complaisance. Quand je doute, c’est à Marie que je me confie : elle est femme, présente. Sa force et sa sérénité m’inspirent : on peut se tromper, mais aussi rebondir.

Vouloir plus de liberté, de couleurs et de douceur, cela nécessite de faire des choix (et non des sacrifices). Encore faut-il les faire ! Je crois que la femme aujourd’hui gagnerait à moins culpabiliser, à se défaire des carcans, que la société lui impose, qu’elle s’impose elle-même. Qu’elle se fasse confiance, qu’elle prenne des initiatives, qu’elle n’attende pas pour être audacieuse ! En tant que femme, tout est possible, c’est ce que je me dis aujourd’hui.

Jeanne

 

http://blog.jeunes-cathos.fr/2014/03/etre-femme-une-maniere-particuliere-detre-au-monde/

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