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Secrétariat paroissial
5 rue saint Martin,
06390 Contes
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Le Curé
Abbé Ildephonse NIYONGABO
Prêtre auxiliaire
Abbé Eric REBUFFEL
Au dernier numéro du Lien paroissial, nous avons passé la barre des huit cent éditions! A cette occasion, nous profitons du n°801 pour donner la parole aux anciens curés, qui, à leur manière, ont contribué à l’évolution de cette «feuille de chou». Les abbés Ruiz, Giordan et Drillon reviennent sur les transformations de ce Lien. (Retrouvez l'édition intégrale du Lien : LE LIEN - MARS 2012)
En arrivant dans le Secteur paroissial de Contes au début mai 1987, le curé que je remplaçais, le Père Louis LEPLUS, m’indiquait que le Journal paroissial n’avait plus grand intérêt : difficultés pour le rendre intéressant et attrayant, difficultés de distribution sur les 8 paroisses et coût trop élevé pour les finances paroissiales. J’ai donc pris la décision de supprimer le journal au profit d’un lettre hebdomadaire, du format A5, qui serait intitulé LE LIEN et qui comporterait chaque semaine :
- Un éditorial du curé, souvent sur le temps liturgique ou sur l’évangile du dimanche
- Les textes de la messe dominicale avec les chants
- Les informations pour la semaine concernant la vie de la paroisse et du Secteur.
Ces LIENS, confectionnés par le curé, imprimés sur duplicateur, étaient distribués aux messes dominicales par les relais paroissiaux. Ils ont permis de faire circuler les informations rapidement, annonçant les fêtes patronales, les grandes manifestations… Ce fut l’organe de liaison entre les communautés pendant les 7 années de mon ministère à Contes et sur le secteur paroissial.
abbé Jean-Louis GIORDAN
Le LIEN ! Une feuille de choux, comme on dit, oui, mais bien utile : avec ses informations, qui facilitent la pratique de notre sainte religion, qui permet aussi de partager des idées ou des réalités sur la foi, et qui entretient et promeut la vie de la Communauté paroissiale. Le LIEN, un moyen humble de propager l’Évangile et la vie de la famille paroissiale ! Mais souvent, l’humilité des moyens expriment la toute puissance de Dieu….. Ad multos annos !
abbé Stéphane DRILLON
Il est venu dans la nuit de Noël, le Messie tant attendu.
Il est venu ... non pas comme un intrus, mais dans la douceur d’une promesse.
Il est venu là où il était attendu. Mais non pas comme nous l’aurions voulu. Car il n’est pas le rêve des hommes, mais bien celui de Dieu.
Il est venu à Bethléem en Judée pour être enveloppé d’une tendresse humaine qui puisse faire écho de sa tendresse de Père pour tous les hommes, ses enfants.
Il est venu sans tapage parce que l’Amour a besoin de silence et de délicatesse.
Il est venu se donner et s’offrir parce que l’Amour ne saurait ni prendre, ni capturer.
Et nous voilà honorés avec Lui dans la crèche.
Redevenus petits enfants émerveillés.
Redevenus petits enfants bien en deçà de toute condamnation ou de tout jugement.
Avec l’Enfant-Dieu, l’histoire est bouleversée. Doucement, simplement et ... inexorablement.
Le ciel n’est plus une menace. Une étoile nous guide.
L’homme n’est plus ni esclave, ni rebut ... Il devient enfant qui grandit et qui ne cessera plus de découvrir la force de la Miséricorde et du Pardon.
L’histoire ne nous éloigne plus de Dieu. Il est entré dans cette histoire.
Et avec nous, avec chacun de nous, Il nous bâtit une Maison où une place est toujours préparée pour chacun des enfants du Père.
Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et Paix sur la Terre aux hommes qui l’aiment ...
Joyeux Noël à chacun ! Bonne et Heureuse Année 2011
Père Zdzislaw et Père Michel
Les fortes pluies de novembre sont maintenant passées, les feuilles qui faisaient resplendir le paysage d’automne servent désormais d’humus, les premières neiges revêtent les montagnes du manteau hivernal d’un blanc immaculé, la faune se fait discrète et les cigales ont depuis longtemps cessées de chanter l’été. La création nous donne ainsi le cadre nécessaire pour nous préparer dans la quiétude à l’avènement du Sauveur. Tout nous dispose à entendre l’appel du précurseur Jean le Baptiste qui nous invite :
« Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route » (Mt 3, 3).
Le Christ va venir conformément aux promesses révélées par les prophètes. Dans la nuit de Pâques, lorsque nous chantons :
« Heureuse faute qui nous valut un tel Rédempteur », nous confessons notre faiblesse mais aussi la grandeur et l’humilité de Dieu qui prend notre condition pour nous racheter et nous ramener vers Lui.
Voici donc deux aspects qui pourront nous aider dans ces quatre semaines de l’Avent : reconnaitre notre faiblesse que le Christ vient lui-même assumer et la grandeur du Don que Dieu nous fait. L’enjeu est bien d’aplanir la route qui conduit à nos cœurs. Comment Dieu pourrait-Il atteindre le fond de nos cœurs si nous y avons dressé des clôtures d’égoïsme et de suffisance, si nous avons laissé se dégrader les chemins d’accès par l’absence de vie spirituelle et chacun peut aisément poursuivre la liste. Si nous voulons que Dieu parvienne en nos cœurs, alors préparons-lui le chemin !
Lorsque nous invitons un hôte à notre table, nous sommes heureux de sortir les plus beaux couverts et les meilleurs vins. Que ferons-nous pour préparer cette rencontre intérieure avec le Christ ? Pourquoi le Christ est-Il né dans une mangeoire, loin de tous ? Peut-être parce que personne n’avait préparé sa maison pour l’accueillir. Alors disposons-nous à être des hôtes dignes de Celui que nul ne peut contenir et qui pourtant se donne à nous dans la petitesse de la crèche et la simplicité du pain.
« Il est proche, le jour du Seigneur, formidable!
Il est proche, il vient en toute hâte! » (So 1, 14)
Hâtons donc sa venue et faisons de l’avent un temps pour laisser la parole de Dieu imprégner nos cœurs telles les pluies de novembre ; préparer un bon terreau pour que la semence de Dieu ne meure pas ; retrouver la blancheur de notre vêtement baptismal en vivant la confession ; faire taire le vacarme de nos vies intrépides pour entendre et écouter le fin silence qui annonce la venue du Sauveur. (cf. 1R19, 12)
L.D
"La sainteté est une force communicative" Saint Ambroise
La Toussaint nous invite à fêter les saints. Mais qu'est ce qu'un saint ? Comment le devenir ? Faut-il faire des miracles, avoir des visions, entendre des voix ? Faut-il une reconnaissance officielle, être canonisé en grande pompe ?
L'Eglise nous invite à voir dans la sainteté un chemin pour tous. Un saint n'est pas un étranger lointain ! Ce n'est ni un héros ni un modèle de vertu. C'est un frère ou une sœur qui nous a précédé dans la foi et reste attentif à notre vie. Le saint est un exemple vivant de ce qui est possible pour chacun d'entre nous : à la suite de Jésus, faire de notre vie, une vie sainte.
Pour devenir saint, il n'y a pas 36 000 chemins : il suffit de répondre pleinement à l'amour de Dieu en vivant l'Evangile. C'est-à-dire en aimant, à notre tour, les autres. En ce sens, les saints sont réellement des modèles pour les chrétiens. Non dans l'imitation de leur vie, mais dans l'imitation de la liberté avec laquelle ils ont marché avec Jésus-Christ. L'un aura pu donner sa vie dans le martyr, un autre fonder d'un ordre, un autre vouer son existence aux pauvres, un autre encore être tout simplement portier dans une école ...
Les saints sont auprès de Dieu. Ils sont vivants. C'est le sens de notre fête aujourd'hui. Les saints n'ont pas abandonné la solidarité humaine. " Je passerai mon ciel à faire du bien sur la terre" affirmait Thérèse de Lisieux. Et c'est en ce sens qu'il faut lire les miracles : ils sont la preuve de l'attention d'un saint à ses frères humains. Rien d'étonnant donc à ce qu'un miracle soit reconnu comme un des éléments qui entrent en compte dans la canonisation d'un individu.
Alors, bonne fête à vous aussi !
Commémoration de tous les fidèles défunts - 2 novembre
Dès les premiers temps du christianisme, la conviction s'est établie que les vivants ont à prier pour les morts. Au moment de mourir, sainte Monique, mère de saint Augustin, demandait à son fils de se souvenir d'elle « à l'autel du Seigneur, partout où tu seras ».
Pendant le haut Moyen Âge, on célèbre l'Office des morts à l'anniversaire du décès de la personne. Et tous les puissants de ce monde, princes, rois, évêques, demandent dans leur testament des prières pour le salut de leur âme. En 998, saint Odilon, abbé de Cluny, demande à tous les monastères dépendants de son abbaye de célébrer un office le lendemain de la Toussaint pour « la mémoire de tous ceux qui reposent dans le Christ ». Cet usage s'est répandu à toute l'Eglise et y demeure aujourd'hui.
Ce jour là, les chrétiens sont invités à participer, si possible en assistant à la messe, à ce vaste mouvement de solidarité spirituelle. Les foules qui se pressent les 1er et 2 novembre dans les cimetières ne sont sans doute pas étrangères au message d'espérance de l'Eglise, même si l'on peut trouver dommage que, du coup, la fête de la Toussaint se trouve reléguée à une triste évocation des disparus.
Penser et prier pour ceux que nous avons aimés fait partie de notre foi. Mais n'oublions pas qu'on peut aussi leur demander de prier pour nous, de s'associer aux difficultés de notre vie et, le jour venu, de nous aider à faire, à notre tour, le grand passage. Vivre dans la mémoire de nos disparus ne doit pas être considéré comme mortifère et déprimant. C'est au contraire un vrai témoignage de foi dans la résurrection et la vie éternelle.
Pendant toute l'année scolaire, nous avons cheminé ensemble en cherchant les moyens d’annoncer et de vivre notre foi. Grâce à votre témoignage et votre engagement on a rendu l’Eglise encore plus visible et proche de la vie des gens.
La prochaine année pastorale on va concentrer nos efforts autour du sujet de l’évangélisation. Le meilleur moyen d’évangéliser c’est tout d’abord vivre l’Evangile soi-même: la lire, l’écouter, la mettre en pratique. Notre diocèse nous propose une belle initiative titrée « Maison d’Evangile ». Dans notre paroisse fonctionnent deux « Maisons d’Evangiles », j’espère qu’il y en aura plus l’année prochaine.
Cette année, un groupe de paroissiens a suivi la formation de « Parcours Alpha ». C’est une façon d’annoncer l’Evangile aux personnes qui se posent des questions au sujet de la vie et de la foi, p.ex. d’où je viens, pourquoi je suis là, où je vais.
Toutes les personnes qui s’intéressent à ce parcours sont invitées à la première rencontre qui aura lieu vendredi 17 septembre 2010 à la chapelle saint Roch à Contes.
Au moi de mai, j’ai fêté le 20e anniversaire de mon sacerdoce. A cette occasion vous étiez nombreux à me manifester votre amitié. Merci beaucoup pour vos prières, vos paroles et vos cadeaux.
Je profite de cette occasion pour vous dire que si j’ai blessé quelqu’un par mon manque de patience, mes paroles, mes comportements, veuillez m’excuser.
Dieu, notre Père,
nous te remercions pour l'année qui s'achève.
Envoie-nous ton Esprit
afin qu'il nous aide à vivre,
d'après la Parole de Dieu,
pendant les vacances.
BONNES VACANCES A TOUS.
Père Zdzislaw Brzezinka, curé
Comme vous le savez et vous le voyez, nous avons commencé, tout d’abord par discuter et depuis quelques temps, réaliser, le projet pastoral « Rendre Eglise visible, proche et accueillante ». Ce projet me semble très important pour l’avenir de notre communauté et de notre Eglise, le synode terminé le 31 mai 2009, nous a donné plusieurs pistes pour les années à venir.
Les changements commencés depuis presque trois ans vont continuer. Nous regardons tous l’avenir et nous rêvons d’une Eglise vivante, transparente et ouverte.
Certains préfèrent ce qu’ils ont vécu il y a quelques années et je les comprends mais la situation change et nous sommes obligés réagir. On ne le fait pas pour réaliser les idées du curé (même les meilleures), mais tout simplement par nécessité. C’est pour cela que nous regroupons « les forces humaines » de la Paroisse avec des résultats plus ou moins satisfaisants. On a l’occasion de construire les années qui viennent et d’une certaine façon de créer l’avenir. On le fait pour nous et pour les générations à venir.
Je profite de l’occasion pour vous dire mes grands mercis pour tout ce que vous avez entrepris pour rendre notre Eglise visible, plus proche des gens et plus accueillante. Je compte sur vous et vous, si vous le voulez, vous pouvez comptez sur moi.
Je profite aussi de l’occasion pour dire un grand merci à Madame Martine Lucas de Peslouan, pleine de générosité et de gratitude qui après plusieurs années au service de la paroisse a donné sa lettre de démission à Mgr évêque de Nice, Louis Sankalé. Je vous informe que dès 1er mai il y a aussi le changement de secrétaire paroissiale et la comptable. De ce fait de secrétariat s’occupera Madame Marie-Céline CAUVET, de la comptabilité Madame Sylvie LOROSCIO et de l’économat Monsieur François HEMZACEK.
Le Curé.